L’esclave de son corps

dimanche 29 juillet 2007.

Pédag., II, 1. En soi, il est indifférent de se nourrir d’une chose plutôt que d’une autre. Ce n’est pas la nourriture défendue qui souille l’homme, mais la transgression de la défense, le mépris de l’autorité et la disposition d’une âme qui témoigne ainsi qu’elle est l’esclave de son corps par le sacrifice des choses permises, l’Église veut apprendre au chrétien à s’abstenir des choses illicites.

Car on se laisse bien vite entraîner à faire ce qui est défendu, lorsqu’on ne sait pas refuser ce qui est permis.

Voir en ligne: JesusMarie.


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