Deux voies : le Christ ou le démon, roi de l’âme. Commentaire sur l’Epître aux Romains - L. 5, n. 6.
Il est impossible que l’âme n’ait pas un roi ; mais il faut faire en sorte qu’elle ait pour roi le Christ, dont « le joug est suave et le fardeau léger » [Mt 11, 30], et non pas le démon, dont le règne est pesant. Car c’est l’iniquité qui est assise sur un disque de plomb [cf. Zach 5,7]. Mais là où règne le Christ, là surabondent la grâce et la justice pour la vie éternelle.