L’antidote qu’est l’invocation du Christ.

vendredi 13 juillet 2007.
Centuries 2, 86. De même que des mets nuisibles troublent le corps dès qu’ils y pénètrent, mais que celui qui les mange demeure indemne si, dès qu’il ressent le mal, il prend bien vite quelque vomitif, ainsi, quand notre esprit accepte les mauvaises pensées, s’en abreuve et s’en rassasie, il ressent leur amertume ; mais par l’invocation de Jésus-Christ du fond du cœur il les vomit aisément, et finalement il les expulse ; de la sorte, avec l’aide de Dieu, la douleur et l’épreuve donnent aux tempérants l’occasion de s’instruire et de se former à propos de ce qui leur arrive.
Voir en ligne: JesusMarie.


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